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  • Gaël Guillaume
  • Le blog de Gaël et Guillaume
  • Homme
  • 19/02/1988
  • Gay exhib bdsm sm soumission
  • Nous sommes un couple: Guillaume 37 ans, domi, et Gaël 21 ans, soumis. Nous adorons les jeux de domination/soumission, jeux pervers, basés sur le bondage, l'exhib, l'humiliation, la frustration, ainsi que le côté cérébral des choses...

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Samedi 1 novembre 6 01 /11 /Nov 17:03







Ma Chienne

 

 

 

Ce soir-là, je te sentais particulièrement chaud. Un quelque chose dans tes yeux, quand tu me regardes. Je te connais, je sais déceler ton côté chienne avant même de t’entendre réclamer.

 

Comme toujours il ne me fallu pas longtemps pour trouver une bonne raison de te châtier, et quand bien même il n’y en aurait pas eu : ta tête d’ange qui me fait craquer aurait été en soi une raison suffisante.

 

Sans te donner d’explication je t’emmène dans la chambre, je veux que tu sois beau, le plus excitant possible, car ce soir tu vas en avoir besoin…

 

Je te déshabille, tu te laisse faire docilement, et sans même prendre soin de te préparer à cela, je lubrifie le trou que tu me tends, à quatre pattes sur le lit, et y installe le plug sans lequel tu n’imagines même plus sortir en ville.

 

J’étale sur ton torse de l’huile de massage qui fait ressortir le dessin de tes muscles, la douceur de ta peau, et avant que tu ne bandes trop, je pose sur ton sexe les cockrings qui t’empêcheront de t’oublier tout à l’heure, ceux-là même qui te rappelleront à chaque instant que ta queue sera gonflée et qu’elle bandera à travers les cercles de métal, lorsque tu ne pourras plus le vérifier par toi même, avec tes mains.…

 

Je pose sur tes poignets et tes chevilles quatre bracelets en cuir scellés par des cadenas, chacun de ces bracelets porte une attache en métal qui me servira tout à l’heure. J’hésite un instant à te caresser ainsi, à t’embrasser, pour être franc j’en crève d’envie mais l’heure n’est pas aux sentiments.

 

Tu te rhabilles, tu passes ton jean par dessus ton corps nu, prenant soin d’éviter de trop serrer tes cockrings, tu mets une chemise, enfile des chaussures et nous descendons en ville.

 

Je ne te dis rien dans la voiture, tu me serres la main, je la caresse pour te rassurer, tu regardes les bracelets en cuir dépasser de ta chemise et déjà, tu sais que tu seras encore livré en pâture, comme une jeune chienne, au envies et au regard de tous.

 

Mais ce que tu ne sais pas : c’est…

A quel point.

 
                           

Nous traversons quelques rues sombres, tu sens les bracelets qui te serrent les chevilles et les poignets, tu entends le cliquetis des cadenas à chacun de tes pas, tu sens le plug qui te prend, les anneaux qui enserrent ta queue. Tu es déjà abandonné à ton sort, et pourtant, tu l’ignores encore.

 

La porte à laquelle je frappe te rappelle quelque chose, tu es déjà venu, tu comprends enfin ce qui t’attend.

 

Un type au crâne rasé ouvre, nous salue et dès l’entrée je te pose un bandeau sur les yeux, pour le reste : tu ne sauras rien.

 

Je t’explique à l’oreille ce que je vois autour de moi. Il y a dans l’endroit une dizaine de personnes, trois ou quatre au bar, plutôt âgés de la quarantaine, bien trempée pour certains, bien portée pour d’autres. Au fond de la pièce se trouvent trois mecs, un peu plus jeunes. Deux d’entre eux s’occupent du troisième, étendu sur un sling. Tu frémis en pensant au patron des lieux, que tu connais un peu, et qui ne s’attend pas à te voir ainsi déchu, toi qui, il n’y a pas si longtemps encore, l’avais entrepris avec une certaine fierté.

 

Ta fierté justement, il va falloir l’oublier ce soir.

 

D’un geste je fixe tes bras à une attache scellée au plafond de la mezzanine, tu comprends pourquoi ces bracelets en cuir sont pratiques, le mousqueton nécessite une seconde pour te contraindre dans la position qui me convient.

 

Tu restes ainsi le temps que je descende au sous sol, inspecter les lieux, et choisir ceux qui auront, le moment venu, le privilège de profiter de toi devant le regard de tous. Tu es encore habillé, toujours les yeux bandés, les bras attachés en l’air et tu sens les regards des mecs du bar se poser sur toi en mon absence.

 

En fait, cela fait déjà longtemps que je suis revenu, assis devant le bar, en train de boire un verre mais tu l’ignores. Je t’observe, un peu cruel c’est vrai, en train d’attendre patiemment…

 

Au bout d’un certain temps seulement, et sans te dire que c’est moi, je m’approche et déboutonne ton jean, le descends sur tes genoux, je dégrafe ta chemise et exhibe ton torse. Je regarde ta queue gonfler doucement, les anneaux la serrent de plus en plus, et je m’éloigne sans même prendre le temps de t’embrasser.

 

Il semble que mes voisins, au bar, apprécient de te voir ainsi… J’en vois un qui se branle, ne te quittant pas des yeux, toi, les mains fixées en l’air, le pantalon misérablement baissé sur tes genoux, la queue bien dressée maintenant. Ils ne ratent pas une seule contraction de tes fesses, car, en pareille situation, tu cherches à prendre un peu de plaisir par tous les moyens…Et le plug qui te prend est, pour l’instant, le seul moyen d’échapper à ton inconfort.

 

J’observe la scène avec ce sentiment partagé et si particulier d’être à la fois plus frustré que toi, mais tellement fier de mon mec. Te toucher serait une façon de briser cette perverse complicité. Je m’abstiens à grand peine…

 

D’autres mecs entrent dans le bar, tu es la première chose qu’ils voient devant eux.

 

Je sens des signes de fatigue, rester ainsi les bras en l’air est épuisant. Je sais que tu ferais tout pour que cela dure plus longtemps… Tu aimes tellement me faire plaisir ! C’est à moi de décider quand mettre fin à ta punition, et le moment est venu. Je te détache… Enfin, je te caresse, je t’embrasse, tu me serres tellement fort que j’ai cru étouffer, je sens ton amour, ton abandon, ton envie, mais surtout la complicité qui nous unit et m’encourage à aller plus loin. Je t’écoute me murmurer à l’oreille les mots qui m’enflamment tant, tu te reposes sur moi, je sens ton cœur battre contre ma poitrine et tu n’imagines pas à quel point je suis avec toi, comme toi, en toi, malgré les apparences, et malgré ce qui t’attend encore…

 
                            
 

Tu gardes les yeux bandés mais maintenant, tu es entièrement nu.

Les bracelets de cuir posés sur tes chevilles et tes poignets sont tes seuls vêtements. Ils te vont bien. Lentement, je te guide sur une échelle étroite qui monte sur la mezzanine au dessus du bar.

 

Nous sommes seuls sur cette petite plateforme, j’en profite pour passer un moment avec toi, tu dégrafes mon jean et avale d’un coup mon sexe, je m’abandonne à mon tour, je reçois chacune de tes caresses comme un cadeau intime, je respire tes cheveux, ta langue engloutit chaque centimètre de ma queue, contourne lentement mes couilles, puis tout ton être se concentre sur mes lèvres que tu embrasses avec tendresse. Je frissonne de bonheur d’être avec toi…

Mais je ne me laisserai pas attendrir.

 

Je te pousse vers le devant de la plateforme. Je sors les cordes de mon sac et je commence à t’attacher avec soin, mains au dos, le torse barré par des lignes parallèles et esthétiques, je te pose le collier de métal qui ne te quittera plus, et l’attache au plafond à l’aide d’une chaîne et d’un mousqueton pour t’obliger à te tenir droit lorsque tu seras à genoux.

 

Je change le bandeau qui t’aveuglait avec celui, plus pervers, qui te permet de voir à travers… Maintenant tu comprends ce que je veux faire. Tu es à genoux, le torse bondé et bien serré, les mains et les bras maintenus en arrière, obligé de te tenir droit à cause de ton collier relié par cette chaîne au plafond, la queue bien dressée dans les anneaux de ton triple cockring…

 

…Et, un peu au dessus de toi, l’œil de la webcam qui te fixe impitoyablement.

 

En bas, les mecs au bar peuvent te voir ainsi exhibé, et partout dans le monde : ceux qui seront branchés sur le site du bar ne rateront rien de ton exhibition.

 

Tu fixes l’œil de la webcam, je vérifie depuis la salle, je veux que chaque internaute puisse planter son regard dans tes yeux et jouir de ta position, observer ta queue qui commence à te faire mal tant elle bande dans le vide, contrainte par le métal, je veux que chaque mec branché sur le web puisse te voir ainsi à genoux, serrer tes fesses pour t’enculer toi même, sans aucune retenue, sans aucune pudeur.

 

Tes mains attachées dans ton dos te permettent de tirer toi même sur ton plug, tu essayes de te frotter le cul par terre comme une chienne que tu es devenue, tes contorsions excitent les mecs qui te matent d’en bas, mais aussi, tout ceux qui, depuis chez eux, passent cette soirée avec toi…

 

Au bout d’un certain temps, je t’amène une jeune lope qui trainaît dans le bar sans trop savoir quoi faire, lui ordonne de se mettre à ton service et sous mes ordres.

 

Il a pour mission de soulager ta queue avec sa bouche, il rampe sur le sol devant toi, et, à quatre pattes, commence à te sucer longuement. La webcam ne voit que sa tête, et pendant qu’il te suce, tu continues à regarder la caméra avec le même regard. Je te donne du popper’s et là tu te déchaînes dans tes liens…Tu voudrais balancer ta tête d’avant en arrière mais ton collier t’en empêche, tu jouis encore plus de cette nouvelle frustration, ça se voit, je le vois, et, avec moi : tous ceux qui, derrière l’ordinateur, suivent chaque minute de ta punition.

 

Le jeune mec est appelé par son maître à je ne sais quelle autre tâche, je suis de nouveau seul avec toi, et loin de te libérer : je décide d’en profiter à mon tour.

 

Je détache la chaiîne qui maintient ton collier et t’installe assis sur un cube, ça repose tes genoux mis à dure épreuve depuis tout à l’heure. Je porte une cagoule noire, je ne veux pas que l’on puisse me voir à la webcam… Tu es toujours attaché de la même façon mais plus confortablement assis sur ce cube, je t’ai installé de façon à ce que tu sois de profil par rapport à la caméra.

 

Sur l’image, maintenant, les mecs qui te matent peuvent te voir assis, la bouche ouverte, prête à avaler mon sexe. Je le présente devant toi, tu t’en empares avec la même fougue que d’habitude, tu ne le lâches pas, je suis obligé de reculer pour prendre un peu de répit, je recommence, tu l’avales, je recule, et te le donne à nouveau. Je voudrais tant t’embrasser… Mais l’heure n’est pas aux sentiments, tu es une chienne exhibée par son maître devant les internautes, pas question de tendresse pour l’instant…

 

Excités par ta bouche, deux mecs nous ont rejoint sur la mezzanine. Je leur propose d’en profiter, à tour de rôle, ils s’approchent de toi, et te donnent leur queue. Ils peuvent t’utiliser autant qu’ils le souhaitent, ils pourront même jouir sur toi,  là où ils le décideront, à l’exception de ta bouche car c’est un privilège absolu réservé à moi seul.

 

Le premier ne s’en prive pas, après quelques minutes, il se retire et jouit sur ton visage. Son sperme chaud dégouline sur ta joue, tu ne peux pas t’essuyer, tes mains sont toujours attachées, et derrière la webcam, dans des salons inconnus quelque part en ville, j’imagine que d’autres aussi en ont profité pour soulager ainsi leur excitation…

 

Le second mec te présente sa queue à son tour, sans hésiter tu lui rends hommage, tu sais que je suis attentif à ce que mes invités soient bien reçus, et tu t’appliques avec un soupçon de zèle qui me laisse penser que tu mériteras une autre punition pour ça…

 

Quelques minutes plus tard, il jouit à son tour sur l’autre joue, à nouveau tu sens la semence chaude descendre sur ton visage avant de goutter sur ton torse, tu voudrais t’essuyer, mais tes liens t’en empêchent.

 

Je tourne le cube de sorte que tu sois de nouveau assis face à la webcam, et te laisse ainsi, nu, attaché sévèrement, la queue n’en pouvant plus, et du sperme dégoulinant partout sur ton visage. Tu regardes à nouveau dans les yeux les internautes qui se sont connectés… Je t’enlève le bandeau, cette fois, tu n’a plus de pudeur, tu n’as jamais été aussi chienne, mon amour. Tu resteras ainsi un bon moment, abandonné à ton sort, le visage maculé de foutre et le corps exhibé nu, attaché, face à des yeux inconnus.

 

Tu aurais bien mérité de jouir, d’être enfin soulagé, mais l’excès de zèle que j’ai remarqué tout à l’heure avec le deuxième mec mérite quand même une punition. Tu es détaché enfin, presque à regret tant tu t’étais habitué à cette webcam devant laquelle tu t’es donné à fond. Tu peux t’essuyer le visage, on fait une pause, je t’enlève le cockring et le plug… Pendant quelques instants nous sommes à nouveau seuls, tu sais qu’on s’aime Gaël, tu sais que je suis fou de toi, on s’embrasse, on se le dit, mais, comme tout à l’heure… Je ne changerai pas d’avis.

 

Je t’attache à poil sur une des tabourets du bar, les mains au dos, le cul en l’air, offert, ouvert, et les pieds aux montants. Je te mets du gel, et, d’un geste, invite les garçons qui se trouvent là à te prendre les uns après les autres. Je veille à ce qu’ils mettent une capote et à ce qu’ils ne te fassent pas mal, je veux que tu sois puni pour ton côté salope, mais pas que tu aies mal.

                            

Pendant un instant le nombre de prétendants qui font la queue devant ton cul m’impressionne, puis, après réflexion, je me dis que tu l’as bien mérité et je laisse faire. L’un après l’autre, différemment membrés, rapides ou lents, doux ou violents, la moitié des clients du bar te pénètre comme une chienne. Je suis devant ton visage, je ne te quitte pas des yeux, je vois dans ton regard l’étrange et subtil mélange de honte, de souffrance et d’intense plaisir qui te traverse, moi aussi je souffre -mais tu l’ignores- de devoir t’offrir ainsi à ces gens qui ne savent rien de ce que tu es et qui ne te méritent pas.

 

Lorsque le dernier se retire, je prends mon tour, avec une infinie tendresse j’entre entre tes fesses, je te fais l’amour dans ce lieu qui n’est pas fait pour ça, toi et moi, seuls, le savons, je jouis en toi et libère par la même occasion ta jouissance, je sens sur mon sexe les spasmes de ton éjaculation, ça dure longtemps, nos corps vibrent à l’unisson, tu gémis, halètes, lance ton sperme partout sur le sol, puis t’effondres… Et moi avec.

 

Guillaume

Copyright : G.-L.T. 

Par Gaël Guillaume
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